Massages Biodynamiques

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LE MASSAGE BIODYNAMIQUE FAIT PARTIE DE LA MÉTHODE DE PSYCHOTHÉRAPIE PSYCHO-CORPORELLE : LA PSYCHOLOGIE BIODYNAMIQUE.

Il en constitue l’instrument par le toucher. A son origine, Gerda Boyesen norvégienne, psychologue et physiothérapeute, depuis l’après-guerre, elle s’est passionnée pour le lien entre le corps et l’esprit. Suite à de longues années de pratique et d’observation sur des cas cliniques, elle en vint à formuler sa propre théorie selon laquelle «le stress s’accumule dans les tissus sous forme de liquide stagnant» et «la digestion du stress se fait par les mouvements spontanés ondulatoires de la paroi des intestins, sous le contrôle du système nerveux végétatif».

Le but du massage biodynamique est alors d’aider le corps du patient à libérer ce liquide stagnant accumulé dans les tissus, afin de le rendre à nouveau accessible au processus d’élimination par les intestins. Par la même occasion, une régulation s’opère au sein du système nerveux autonome, source de détente agréable.

Les techniques employées lors d’un massage biodynamique sont diverses. Elles sont adaptées aux besoins du patient, suivant son état actuel et suivant les tissus à adresser en priorité, assurant une approche très individualisée. Ces massages se focalisent sur des mouvements internes du corps (les muscles, la membrane, les viscères, les os…). Le toucher particulier en biodynamique, va dissoudre les tensions, relancer l’énergie et remettre en route les capacités d’auto-régulation et d’auto guérison du corps, ce qui entraîne parfois le relâchement d’une charge émotionnelle contenue dans les tissus, pour le plus grand bien-être du patient.

Pour rappel, les massages biodynamiques ont pour vocation à être psychothérapeutique. Ils peuvent être aussi considérés comme un complément à une thérapie verbale (psychologie, psychanalyse,…) ou thérapie brève (PNL…).

 

INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES POUR LE MASSAGE BIODYNAMIQUE :

En règle générale tous les effets secondaires du stress à court terme ou à long terme.

Fatigue chronique, mauvaise récupération, tendance aux infections répétées

Troubles fonctionnels : de la digestion, du sommeil, de la respiration, de la sexualité

Troubles psychosomatiques : Maux de tête, acidité gastrique, douleurs inexpliquées

Troubles de la mémoire et de l’attention, manque de concentration, oublis répétés

Troubles de l’humeur : irascibilité, dépression, sautes d’humeur, accès de panique

Hypertonicité : tensions musculaires chroniques, incapacité à la relaxation

Hypotonicité : incapacité à l’effort physique, manque d’endurance

Accoutumance à la cigarette, à l’alcool, au café, à la drogue

Effets secondaires d’épisodes traumatiques : accident, opération, violence, deuil